Qu’à cela ne tienne, les règles du jeu pour la réussite dans
le commerce de détail ne sont plus les mêmes, qu’on soit situé dans un centre
commercial ou sur l’une de nos plus belles artères commerciales de Québec.
J’ai déjà écrit un billet sur cette question il y a un an
presque jour pour jour. Encore tout récemment, 2 restaurants haut de gamme, soit le Patriarche et la Crémaillère,
ainsi que JEF poissonnerie, une poissonnerie de quartier, ont dû fermer leurs
portes.
Toutes sortes de raisons sont invoquées. Dans le cas des
restaurants, les hausses des taxes d’affaires à la ville de Québec sont
pointées du doigt et j’ai vu tout dernièrement un éditorial laissant miroiter
que les craintes entourant la collusion autour des dîners d’affaires chez les
fonctionnaires et gestionnaires dans l’entreprise privée pouvaient être en cause.
Ces explications ne sont pas totalement fausses, mais elles
ne peuvent pas tout expliquer. Je le dis et redis, le comportement du
consommateur change. Le coût de la vie est tellement en forte hausse par
rapport aux gains d’argents nets réalisés par les individus et familles (autre article parue dans la Presse.ca traitant du revenu disponible des familles), que leurs
budgets changent par la force des choses, et cela influence directement leurs priorités
de dépenses, cela va de soi! C’est curieux pareil. Tout le monde comprend cette
logique, mais personne ne peut préciser dans quelle mesure ces changements
affectent leur commerce, leur chiffre d’affaires.
Prenez encore ce matin, un article dans le journal Le Soleil et du Journal de Québec traite des problèmes de rentabilité rencontrés par la Société des Traversiers du Québec. On rapporte que la STQ n’aurait fait faire aucune étude sur son achalandage, sur le profil de sa clientèle, ni aucune étude de marché sur les effets de hausses tarification comme elle a décrété ces dernières années, soit des hausses de 30 % sur 10 ans, semble-t-il alors que les traversiers ont fait 5 % plus de voyage avec une diminution de 6 % des usagers! Big deal! Bon, je ne veux pas faire le procès de cette société aujourd’hui, mais des cas de la sorte, il y en a des tonnes chez plusieurs entrepreneurs dans tous les secteurs d’activités.
Prenez encore ce matin, un article dans le journal Le Soleil et du Journal de Québec traite des problèmes de rentabilité rencontrés par la Société des Traversiers du Québec. On rapporte que la STQ n’aurait fait faire aucune étude sur son achalandage, sur le profil de sa clientèle, ni aucune étude de marché sur les effets de hausses tarification comme elle a décrété ces dernières années, soit des hausses de 30 % sur 10 ans, semble-t-il alors que les traversiers ont fait 5 % plus de voyage avec une diminution de 6 % des usagers! Big deal! Bon, je ne veux pas faire le procès de cette société aujourd’hui, mais des cas de la sorte, il y en a des tonnes chez plusieurs entrepreneurs dans tous les secteurs d’activités.
Ah oui j’oubliais, parait-il que les difficultés rencontrées
par les commerces sur rue sont essentiellement causées par la venue des
parcomètres. Comme s’il ne s’était rien passé de spécial avant leur venue.
ROBERT
HARMEGNIES MARKETING
Planification
stratégique et Géomarketing
1066
Gustave Langelier
Québec,
Québec
Canada,
G1Y 2H9
(Tel. 418.688-2777
(Cel.
418.580-3826
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